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It must look odd from the outside, this act of drawing a nude live model. But when one has done it one’s whole life, well at least since art school, as I have, it really seems very unexceptional.
I am doing these drawings of life classes as a way to think about where one sees naked bodies. Degas put his in bedrooms; Bonnard painted his wife in the bath; Lucien Freud just plopped his models down on dirty sheets or filthy floors. The old masters painted nudes in lovely landscapes or ensconced in luxurious beds…but there always was a context.
However, that context is nowhere to be seen in most nude drawings I see being made. Yet the idea that nudes are central to “real art” seems to be alive and well, if the packed class I attended today is any indication. But I’m not quite sure why people feel this way!
Il doit sembler étrange de l’extérieur, cet acte de dessin d’un modèle vivant nu. Mais quand on a fait sa vie entière, bien au moins depuis l’école d’art, comme je l’ai, il semble vraiment pas exceptionnel.
Je fais ces dessins de classes de vie comme un moyen de penser où l’on voit des corps nus. Degas a mis son dans les chambres; Bonnard peignit sa femme dans le bain; Lucien Freud vient de déposer ses modèles sur des draps sales ou des planchers sales. Les anciens maîtres peignaient des nus dans de beaux paysages ou se cachaient dans des lits luxueux … mais il y avait toujours un contexte.
Cependant, ce contexte est nul par être vu dans la plupart des dessins nus que je vois être fait. Pourtant, l’idée que les nus sont au centre de «l’art réel» semble être en vie et bien, si la classe emballée que j’ai assistée aujourd’hui est une indication. Mais je ne sais pas très bien pourquoi les gens se sentent de cette façon!